Je me souviens de ce jour près d'une sombre allée.
Un garçon, beau et fier,
Ce bel ami, oui je le regardais.
Lui à son auberge, moi à ma rivière.
Je laissais mes torchons, il sortit
De son auberge, je me rapprochais.
Il regardait droit devant lui,
Mais son regard j'ai su le captiver.
D'abord il admirait mes yeux,
Oui les miens, qui seuls ont le secret
Avec mon sourir, qu'il qualifiait de radieux,
De ravir son coeur et de le faire chavirer.
Près d'un arbre, allongée j'étais,
Le laissant s'avancer et venir à moi,
Très calme il paraissaît, mais son coeur bondissait,
Oui je savais qu'il était en émoi.
A peine arrivé, déjà je me levai,
Il me regardait avec des yeux ronds, sans rien dire,
Mais je lui souriais me dirigeant dans cette sombre allée.
A son tour il se leva, me suivit, et toujours subjugué, poussa un soupir.
Parmi ces arbres, notre bonheur, notre amour naquit,
Une lumière douce m'enveloppa.
Lui, rayonnant de joie, me prit
Dans ses bras et amoureusement, m'enlassa.
Mais derrière ses fenêtres elle me surveillait,
Cette vieille harpie,
Cette satanée ramiellée et menteuse fieffée,
Incarnation de la jalousie.
Oui elle était là
Et nous maudissait,
Cette paricaridelle, diable que voilà,
Elle nous maudissait toujours et même davantage voyant nos baisers.
Ah ! Nos baisers, tendres et sucrés,
Réchauffant chaleureusement nos coeurs.
Ah nos baisers ! Fraîchement déposés,
Nous réchauffant d'un feu ravageur.
Tel était le souvenir de ma conquête
Amoureuse. Souvenir heureux brûlant de passion
Alimentée par cette diablesse hideuse et trouble fête
Tant elle nous haît et nous maudit sans raison.
Doux souvenir. A son oreille j'ai glissé ces quelques mots :
" Ami, te souviens-tu où nous nous sommes rencontrés
Par ce jour si beau ?
Amour, te souviens-tu de cette sombre allée ? "
Un garçon, beau et fier,
Ce bel ami, oui je le regardais.
Lui à son auberge, moi à ma rivière.
Je laissais mes torchons, il sortit
De son auberge, je me rapprochais.
Il regardait droit devant lui,
Mais son regard j'ai su le captiver.
D'abord il admirait mes yeux,
Oui les miens, qui seuls ont le secret
Avec mon sourir, qu'il qualifiait de radieux,
De ravir son coeur et de le faire chavirer.
Près d'un arbre, allongée j'étais,
Le laissant s'avancer et venir à moi,
Très calme il paraissaît, mais son coeur bondissait,
Oui je savais qu'il était en émoi.
A peine arrivé, déjà je me levai,
Il me regardait avec des yeux ronds, sans rien dire,
Mais je lui souriais me dirigeant dans cette sombre allée.
A son tour il se leva, me suivit, et toujours subjugué, poussa un soupir.
Parmi ces arbres, notre bonheur, notre amour naquit,
Une lumière douce m'enveloppa.
Lui, rayonnant de joie, me prit
Dans ses bras et amoureusement, m'enlassa.
Mais derrière ses fenêtres elle me surveillait,
Cette vieille harpie,
Cette satanée ramiellée et menteuse fieffée,
Incarnation de la jalousie.
Oui elle était là
Et nous maudissait,
Cette paricaridelle, diable que voilà,
Elle nous maudissait toujours et même davantage voyant nos baisers.
Ah ! Nos baisers, tendres et sucrés,
Réchauffant chaleureusement nos coeurs.
Ah nos baisers ! Fraîchement déposés,
Nous réchauffant d'un feu ravageur.
Tel était le souvenir de ma conquête
Amoureuse. Souvenir heureux brûlant de passion
Alimentée par cette diablesse hideuse et trouble fête
Tant elle nous haît et nous maudit sans raison.
Doux souvenir. A son oreille j'ai glissé ces quelques mots :
" Ami, te souviens-tu où nous nous sommes rencontrés
Par ce jour si beau ?
Amour, te souviens-tu de cette sombre allée ? "
Thomas
La personne qui parle à la première personne du singulier ( je ) est une fille!! ( ça devrait ptet aider à al compréhension. ^^
Alors vous en pensez quoi ???