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A la découverte du nouveau monde...

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Paradize

Paradize

* Tout bougeait, tout était illuminé. une aura brillait intensément et entourait quelques personnes dont Sérentei et Paradize. Paradize avait eu la voix coupée, alors il ne cherchait pas à crier, mais en voyant l'expression de Sérentei, on ne pouvait crier, ou plutôt on pouvait crier mais personne ne pouvait entendre. On lisait l'expression de l'incertitude et du désarroi sur le visage de Sérentei. Paradize, lui regardait de tout côté pour voir au maximum ce qui était en train de se passer. Il était finalement bien content que Sérentei lui ait tenu les deux mains pour qu'il ne puisse plus bouger et ainsi toucher l'ange car comme ça, c'est lui qui fit la bétise de toucher la faille et non Paradize. Il se réjouissait de cela. Il se réjouissait aussi du fait que Sérentei ne l'ait pas lâché car il n'aurait pas apprécier de se retrouver seul, perdu sur une sorte de plage pas très belle en plus. Puis son sourire s'effaça lorsqu'ils entendirent une détonation assourdissante. Personne ne semblait s'en soucier autour, comme si cela était tout à fait normal et courant. De plus tout se mit à tourner. L'aura brillait de plus en plus. On voyait défiler toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, puis le décor aussi se mit à tourner et, soudain, ils eurent l'impression d'être soulevés dans les airs. Leurs estomacs se nouèrent. Certains commençaient à avoir des nausées.

Enfin le vacarme cessa. Tout ralentissait. Puis tout se figea. Ils étaient à nouveau sur la terre ferme. Enfin la terre ferme, disons plutôt sur une autre plage similaire à l'ancienne et pourtant si différente. On y retrouvait le sable qui cette fois était blanc, le totem avec sa faille était de couleur grise à présent et l'eau n'était plus turquoise mais transparente, sans couleur, comme de l'eau d'une pureté extraordinaire. La température n'était pas la même non plus. Paradize put enfin se réchauffer. Le soleil lui était toujours là mais cette fois, il diffusait vraiment sa chaleur grâce à ses rayons. Paradize se releva et sourit devant ce décor qui ressemblait à ce qu'il connaissait. Son visage n'exprimait plus la peur et l'incompréhension, bien qu'il ne comprennait toujours pas ce qui venait de se passer. Il jeta un coup d'oeil tout autour de lui. Les gens qui les avaient suivi de force, semblaient finalement ne pas regretter de s'être laissés embarquer. Ensuite il vit des arbres, beaux et majestueux, bon ils ressemblaient beaucoup à ce que l'on appelait sur terre des palmiers, mais peut-être que dans ce monde-ci, ils portaient un autre nom. Paradize aida Sérentei, et alla s'assoir à l'ombre. Sérentei en fit de même. Il y avait même un coin d'eau et des fruits sur les arbres. Mais personne ne se risquait à gouter, ni l'eau, ni les fruits, car qui sait ce qu'il pouvait encore se produire... Au loin on apercevait un bâtiment qui ressemblait à un temple, ou une église ou du moins un bâtiment religieux. Mais ici, est-ce que la religion existait, et surtout était-ce la même que celle qu'ils connaissaient ? Il fallait qu'ils aillent explorer tuot cela.

Paradize leva les yeux vers le ciel qui semblait être de couleur vert pomme très pastelle. Il songea que cela était bizarre. Mais, il songea aussi aux événements récents qui venaient d'arriver, et il poussa un soupir de soulagement. Ils étaient encore en vie, ou plutôt ils n'étaient pas encore morts, ou alors ils étaient morts puis ils étaient re-nés, bon il devait admettre que cela était vraiment très bizarre et très très compliqué, mais finalement cela le fit sourire. Enfin il pouvait sortir le nez de ses livres et vivre par lui-même une vraie aventure. Il voulut faire part de son contentement à Sérentei mais celui-ci avait déjà fermé les yeux. Son esprit était surement à mille année lumière d'ici. Paradize se mit à bailler et se dit que tout compte fait, Sérentei avait raison, cette sorte de voyage intertemporellogalactique l'avait épuisé. Il roula presque en boule dans les bras de Sérentei. Une légère brise soufflait sur l'oasis dans lequel ils avaient attéri. Cette journée avait été riche en émotion et elle ne faisait que commencer. Il pensa à son frère qu'il ne reverrait sans doute pas de sitôt, ni sa famille. Ses yeux s'embrumèrent, mais avant que la première larme ne coule, Paradize s'endormit, exténué...
*

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Loucas

Loucas

Alors que les deux êtres sortie de nul par avait atterri dans cette immense désert de sable blanc, une petit forme bizarre passé de dune en dune, se rapprochant discrètement du groupe...

Cette forme lumineuse regardait de ses yeux bleuté le spectacle qui s'offrais a elle!

Deux autre vivant, deux mal apparemment, collé l'un a l'autre. Etait il mort?

La chose devait s'en assuré.

Parcourant d'un pas léger, sans faire de trace, le sable neige la forme s'approchait de plus en plus de la scène.

Et nous, pauvre spectateur nous pouvions voir de plus en plus de quoi il s'agissait : cette petit forme était plus ou moins humaine. Des oreilles de chat noir dressaient sur le haut de sa tête, pointé vers le ciel, une "chevelure" blanche comme neige qui semblait plus blanche et éclatante que le sable lui même. Des mains posé sur le sol qui possédait des griffes sur leurs extrémité, des ongles cornue.... De vissage, Loucas ressemblait a un humain, ou plutôt a un ange, elle avait des yeux très bleu en amande un air doux et joyeux, quelque peu enfantin malgré tout les année qu'elle avait derrière elle!

Elle semblait même vouloir jouer!

Alors que sans mauvaise attention elle s'approchait du "couple" elle sauta sur eux et cria :


" MIAAAAA !!!! ^^ "

Elle eut alors un rire gaie leurs léchant le visage, faisait apparaître une queue noire qui se balançait de droite a gauche a l'arrière de son corps.

Comme une enfant, la demoiselle leurs léchait les joues a tout deux, les réveillant ainsi.

Et puis de toute façon, dormir avec le soleil qui faisait conduirait a la mort non?

Mutsunokami Serenteï

Mutsunokami Serenteï

Les voyages instantanés entre deux plages pouvaient être très éprouvants pour les jeunes âmes en apprentissage. En effet passer d'un milieu humide et froid à un milieu moins humide mais bien plus chaud était très destabilisant. Cela était sans compter que l'âme qui mettait sa main dans la fente utilisait directement ses propres ressources pour transporter autant de monde que de connecter à elle. Difficile de ne pas s'évanouir après un tel choc. Cependant la chaleur ecrasante et desagréable du desert en faisait un lieu impropice au sommeil et il suffit qu'une petit créature humanoïde cria et lui lecha le visage pour qu'il reprenne ses esprits. Il ouvrit lentement les yeux et sentit sur sa joue comme un lappage qu'il s'empressa de chasser d'une main encore affaiblie. Il tourna la tête vers cette gènees qui persistait malgrès sa tentative et il découvrit une jeune fille apparement très heureuse de les voir, tellement qu'elle n'avait sut exprimer sa joie qu'en le lechant. Il découvrit aussi que Paradize etait juste à coté de lui et qu'il subissait le même sort. Serenteï tenta alors de se redresser et alors qu'il y parvenait presque la créature poussa un merveilleux cri.

"-Mais qu'est-ce que c'est encore que cette chose ?"

Bien que surprit que la jeune fille dispose de deux oreilles de chat et d'une queue du même animal il ne le manifesta pas plus que cela. Il avait vu un tigre aux allures d'homme le bousculler et un ange, pourquoi serait il surprit pour quelques details physique de ce genre à présent ? Ce qui le surprit plus en revanche c'est que la petite chose ne semblait pas pouvoir s'exprimer autrement que par des miaulements. Serenteï fronca des sourcils en etudiant l'aspect général de son sujet. Puis voulant reveiller Paradize à son tour pour qu'il l'aide dans cette situation il lui tapa discretement l'épaule.

Autour d'eux plus personne ne semblait être là, ils n'avaient pas dû s'endormir et se serraient dirigés vers le seul batiment du coin, une sort d'église.


"-Je ne vois plus les autres... Bonjours petite créature, euh... sais tu où sont nos amis ?"

Finalement il se releva complètement. Le sable blanc n'était pas des plus confortables et il etait impatient de pouvoir le quitter. Il scruta les alentours et ne put rien voir d'autre que la plage, les dunes de sable et bien sur ce seul batiment. Il se doutait à présent, même si la chose ne lui répondait pas, de l'endroit où ils seraient tous partis. Peut etre auraient ils dûs les reveiller. Serenteï serra le poing de rage. Personne n'avait donc aucune solidarité pour les plu faibles. Mais il arriva cependant à leur pardonner pour une seule raison, le besoin de comprendre les avait probablement atteint et ils se seraient dirigés sans attendre vers le temple. Secouant la tête comme pour oublier sa rancoeur il fit balancer sa longue chevelure blanche puis retomber sur ses epaules cachant légèrement son torse.

Il tendit une main sûre et aidante à Paradize accompagné par un sourir des plus amicales. Il l'aida alors à se relever d'une violente poussée, pour donner de l'energie à Paradize. Le petite femme-chat ne semblait pas dangereuse. Lorsqu'on vous leche le visage en poussant des cri joyeux généralement on ne vous veut aucun mal, mais ici rien n'était certain. Ce monde il n'en connaissait rien et par conséquent il ne savait pas non plus si les attitudes des gens signifiaient les même choses que sur son monde. Cela lui rappela une phrase d'un philosophe connu ayant vecu bien avant sa naissance, "je penses donc je suis" disait il. Finalement c'etait la seule chose que l'on pouvait savoir définitivement pensa-t-il alors. Puis montrant à la demoiselle la direction du temple Serenteï commenca a essayer de se faire comprendre en parlant dans un language bétifiant.


"-Nous vouloir aller là-bas ! Toi comprendre ? Amis de nous là-bas aussi, nous rejoindre eux ! Tu crois qu'elle comprend seulement ce que je dis Paradize ? J'ai l'impression de parler au vent."

Se redressant pour reprendre une allure plus noble et s'adresser dignement à Paradize il prit un air sceptique sans la lacher du regard. Il semblait en effet que la chose ne comprenait pas un traitre mot de ce qu'il lui racontait, certes avec une grammaire à en faire se pendre un professeur de français. Serenteï decrocha son regard pour afficher une mine meprisante et amusé. Il semblerait qu'il doive trouver meilleur moyen de s'en sortir cette fois.



Dernière édition par le Mar 25 Sep - 19:12, édité 1 fois

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Paradize

Paradize

* Le soleil brillait encore fortement quand soudain il sentit une langue l'arracher des bras de Morphée. Une langue rapeuse et rugueuse, telle une langue de chat. A peine mouillée. Elle faisait des va-et-vient sur le visage de Paradize. Il entrouvrit un oeil pour voir Sérentei qui était debout. Jusque là, rien d'anormal, alors il le refermit, prêt à se rendormir. Mais Sérentei parlait. Paradize pensait qu'il lui parlait à lui alors finalement il se redressa afin de s'assoir et c'est à ce moment précis qu'il vit cette " chose ". Une personne assise devant lui, mais une personne quelque peu anormale puisqu'elle possédait des oreilles de chat, des moustaches de chat, la queue d'un chat, les yeux d'un chat mais le corps d'une personne humaine. Paradize fit un bond en arrière en saisissant la main que Sérentei lui tendait pour l'aider et se planqua derrière lui. Il devait surement halluciner. Mais non, Sérentei ne lui parlait pas à lui, il parlait au... au chat ! Paradize pencha la tête, tendit la main vers cette espèce bizarre, et lui gratta la tête. Elle se mit aussi à ronronner. Quelle bizarrerie. Et Sérentei qui tentait de lui parlait. C'est bien il avait l'espoir.

Il parlait, il parlait et elle penchait la tête sur le côté, montrant qu'elle l'écoutait mais ses yeux avaient l'air de dire " - tu parles, je t'écoute mais je ne comprends rien à ce que tu dis, alors tu perds ton temps ! " Et quand Sérentei se tut, elle miaula. Alors Sérentei se tourna vers Paradize pour lui demander son avis. Paradize hocha la tête. Il lui semblait évident que le " chat " ne comprennait rien à ce qu'ils disaient mais que peut-être il pourrait apprendre car ce " caht " avait bien commencer à prendre le corps d'un humain alors pourquoi pas la parole...
*

"- Dis tu crois qu'un jour il parlera ce chat ? Il a l'air tout mimi ! Mais c'est tout de même bizarre, tu ne trouves pas ? Qu'est-ce qu'il fait là ? Et où sont passés tous les autres qui nous avaient suivi dans notre galère ? "

* Paradize avait déjà une idée derrière la tête mais il n'était pas sur que cette dernière plairait à Sérentei alors il ne dit rien pour le moment. Il s'approcha du " chat " et se mit à jouer avec lui. Puis il releva la tête vers Sérentei et se remit à lui parler. *

"- Au fait, dis moi, on ira la visiter la structure que l'on voit là-bas hein ? Elle a l'air super attrayante, et en plus on pourra surement apprendre plein de chose, j'en suis sur ! "

* Paradize lui fit de tout petits yeux tout ronds auxquels généralement personne n'arrivait à résister tant il était craquant avec sa ptite tête. Puis il décida de poser une autre question quelque peu plus osée...*

"- Hé, hé, dis. On peut le garder le " chat " ? Dis on peut l'emmener avec nous ? Il va mourir sinon ici tout seul. Tu as vu, il avait l'air malheureux avant qu'il nous voit mais maintenant regarde comme il ronronne ! En plus il est tout mimi et tout gentil !! Allez on le garde hein, je m'en occuperai !! Enfin s'il veut bien nous suivre bien sur. "

* Là aussi, il se remit à faire de jolis yeux afin d'amadouer Sérentei... Il continuait en attendant à jouer avec le " chat " dont il aurait bien aimé connaître le nom. Et au pire s'il n'en avait pas, il lui en trouverait un, d'ailleurs il avait déjà une petite idée... *

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Loucas

Loucas

[hs: "IL" ?!!! >< je te mordrais un jours! ^^ ]

La demoiselle chat se redressa sur ces deux pattes arrière comme les deux humain, n'étant pourtant pas très grande, arrivant a peine a leurs épaule. Elle tendis le doigts vers le temples qui se trouvé dans un horizon assai proche d'eux. La demoiselle fit :

" Nya. "

Puis elle commença a sautiller autours d'eux, a se mettre par terre pour jouer avec le sable, les bestiole qu'elle y trouvait, tournant en rond, puis revenant au deux être étrange. Les deux vertical. Elle en avait déjà croisé, mais pas encore des comme ceux la. Eut il avait des chose colée dans le dos ...

Loucas s'approcha de paradize, elle leva une main vers les cheveux de celui ci, soulevant ces derniers comme pour chercher quelque chose, elle trouva. L'oreille de l'humain. Elle leva son autre main, touchant doucement celle ci comme si elle pensait que cette oreille humaine allait la mordre, puis elle recula. Eclata de rire. Un rire sonores. Un rire amusé. Elle se moquait des oreilles de l'être, alors que c'était elle qui avait des oreilles bizare! Enfin, elle en avait presque la larme a l'oeil.

Ces yeux bleu avec une fente vertical a l'intérieur de ces derniers scrutaient les deux personnes. Visiblement, cela l'amusé. Ils l'amusaient.

Puis elle tira la main de Serentei pour le mener vers le temples.

C'était tout se qu'elle avait comprit. Le temple.


" Temple!! ^^ "
Il l'avait montré, du regard comme de la main, et Loucas avait comprit ( ba oui ressemble a un chat mais pas un cerveau de chat! xD) Et, de plus, elle connaissait celui qui vivait dans celui ci! C'était l'homme qui la nourrissait et qui lui apprenait des mots d'humain. Comme celui ci, temple. Puis elle se retourna alors puis mit une main sur elle pour dire :
" Lou. "

Elle tourna sa main vers les deux personne puis les désigna avec un air interrogateur.

Un vissage très expressif, trop peut être! Mais alors qu'elle les regardait, elle ne leurs laissa pas vrement le temps de répondre, qu'elle agita ces oreilles et passa sa langue sur ses lèvres et se mit a courir vers le temple! Tirant avec une force impressionnante pour un si petit être, la grande chose vertical derrière elle! Et l'autre qui devait sûrement le suivre....

Le temple approchait. Les trois visiteurs était de plus en plus près, et alors qu'il était a environ 10 mettre de l'entrer de celui ci, Loucas leurs montra du doigts cette chose et sembla vouloir leurs apprendre le nom de ce bâtiments:


" Temple!! ^^ "

Elle sourit encore, puis se dirigea beaucoup plus calmement vers celui ci.

A la découverte du nouveau monde... Temple_by_shaoe

[hs: la flemme de décrire, image c'est mieux! xD]

Donc, Loucas grimpa les marche qui menait au temple, sans faire de bruit, et se dressant tout en haut un homme la regardait. Une longue chevelure noir, des yeux vert. L'air plus humain, mais avec de splendide ailes doré dans le dos. Une couleur or dont la beauté scintillait au eclat du soleil.
Loucas approcha de l'homme, s'inclinant devant ui, comme par respect puis l'homme sourit.


" Tu retiens bien tes leçon Loucas."

Il leva ensuite les yeux vers les deux voyageur.

" Bienvenue au sein de mon temple. Voici Loucas. Et moi je suis ...... "

Son nom s'effaça par le cris de quelqu'un dans le temple. L'homme se retourna brusquement et ne vit pas Loucas ...

" ... Lou ... suivez moi s'il vous plaid. "

Donc, l'ange aux ailles doré entra dans le temple, découvrant une loucas accrochait a un haut rideau grimpant encore alors qu'une prêtresse tirait sur celui ci! Loucas semblait quelque peu joyeuse! Criant ces "nyaa" Avec conviction.
" ........ Ne faite pas attention .... Loucas est quelque peu instable ... elle est encore jeune. "
Il soupira levant les yeux vers Loucas et croisant les bras, attendant une réaction de celle ci.

La fille baissa enfin la tête, vers l'homme puis vers la dame, et enfin sauta, ré atterrissant au sol avec l'essence d'un félin puis trottinant dans celui ci.


" C'est l'heure du repas pour elle. Cela l'énerve assai "

Mutsunokami Serenteï

Mutsunokami Serenteï

"-Je ne sais pas où ils sont Paradize... mais je crois que ce chat peut nous conduire à eux. J'ai l'impression qu'il comprend finalement..."

La petite bete gigotait dans tous les sens comme faisant tourner les têtes des deux personnes dans les deux sens du terme. En effet malgrès ses quelques traits felins l'anatomie semblait proche de celle d'une humaine, qui plus est une humaine assez jeune. Serenteï se laissa attraper par la jeune fille, qui désormais avait droit à un tel statut dans son esprit puisqu'elle semblait finalement dotée de la parole et surtout d'une capacité à comprendre ce qu'il lui disait. La force extraordinaire avec laquelle se faisait tracter Serenteï ne lui echappa pas. Apparement il était aussi leger qu'une feuille pour elle. Touché à son ego il voulut lacher la main de la petite mais au moment où il sembla y arriver ce fut elle qui le lacha. Surprit par ce revirement de situation Serenteï, essouflé d'avoir dû suivre la course, se reprit en regardant vers le sol, penché pour se detendre. C'est alors que la femme chat monta silencieusement les marches. Cet endroit semblait respirer la quietude et la sérénité ce qui n'était pas pour déplaire à l'inspiration de l'homme aux cheveux blanc. Ici il sentait que chaque chose avait trouvé sa place et lui même se sentait à sa place.

Voyant la manière dont montait les marches la, très précedement, suréxistée jeune fille il se douta alors que quelque chose de spécial habitait ces lieux. Il prit alors Paradize en retrait un instant avant de suivre le mouvement imposé. Il ne voulait pas s'engager dans quelque chose de plus qu'incertain.


"-Qu'en penses tu ? Ca n'a pas l'air bien dangereux... Et puis je suis curieux de savoir ce qui se trouve là haut... Peut etre nos réponses. Par contre je ne resterais pas ici s'il n'y à rien à apprendre. Je préfère te prévenir afin que tu puisse prendre tes décisions plus tard. Je n'ai pas l'intention de rester ici, la quiétude n'est pas ce que je recherche."

Puis il regarda Loucas monter les marches, apparement sans risque aucun, mais il n'en avait pas douté. Ce qu'il craignait de trouver là haut c'était justement qu'il n'y ai rien d'autre que des créatures dans le genre de Loucas, totalement incapables de le reseigner sur quoi que ce soit. Il entâma la monté en silence, pensant à toutes les questions qu'il devrait poser s'il y avait effectivement quelqu'un d'intelligible. Surrement serait il au courant pour les autres gens, mais surtout serait il au courant pour lui et sa renaissance, à laquelle il ne voulait toujours pas croire.

Arrivés en haut des marches du long escaliers, errintant s'ajoutant aux efforts produits pour arriver jusqu'au temple, il put de nouveau reprendre son souffle mais cette fois put contempler une architechture splendide digne des civilisations Maya ou Aztèques de l'ancien temps. Il semblait pourtant que quelque chose était différent, tout semblait parfaitement entretenu, les fresques etaient bien colorées, les murs bien sculptés, les sols bien décorés. Ce ne pouvait pas être l'oeuvre de la petite fille, cela était tellement evident que lorsqu'il remarqua finalement qu'elle saluait une personne Serenteï n'en fut aucunement surprit. Il laissa même se dessiner un sourir, à la fois exprimant la satisfaction de voir que son raisonnement était logique mais aussi qu'il pourrait continuer un peu plus longtemps d'esperer des réponses. Négligeant totalement que Loucas s'en aille alors il se dirigea respectueusement, tout comme l'avait fait la femme chat avant lui, vers l'homme dont le nom lui echappa.

Loucas avait reprit une activité qui lui ressemblait plus, la surexcitation. Serenteï en fut presque amusé de voir qu'il n'était pas le seul à ne pas savoir comment contenir la surdose d'energie de la petite. On lui révella finalement son nom, Loucas. Il se rappella alors l'avoir entendu dire "lou" et en conclu qu'elle sortait cela de cette sorte d'instructeur. Apparement elle était son animal de compagnie et cela rendit sceptique le jeune esprit.


"-Je suis Serenteï et voici Paradize. Loucas est votre... animal de compagnie ?"

D'un air presque hésitant mais pourtant bien ironique la question première lui sortit de la bouche commeune remarque dont il ne pouvait se priver de partager. Il avait pourtant bien d'autres questions plus importantes, mais celle-ci paraissait tellement évidente et permettrait de lancer la conversation. L'homme souris amicalement aux deux personnes et leur répondit calmement mais avec determination.

"-Non, c'est un Litirien et nous, les Diriatas, tentons d'ouvrir les portes de la sagesse aux espèces de ce genre. Nous ouvrons autant l'esprit des âmes égarées que celui dont l'âme n'a pas encore eut le temps de se développer, comme c'est le cas pour cette jeune âme..."

A ce moment Serenteï approuva totalement ce qu'il entendait mais l'homme reprit, sa phrase n'était pas terminée.

"-... et pour vous aussi !"

C'est à ce moment que s'ecarcillèrent les yeux de Serenteï. Etait il, aux yeux de cet homme, aussi abruti que Loucas au point de mériter un tel titre ? Ces questions étaient elles si bêtes ? Le plus logique était que l'homme savait quelque chose qu'il n'allait maintenant plus tarder à leur expliquer. Serenteï suivit alors le jeune homme en gardant ses distances afin de parler avec Paradize sans être entendu, de peur de froisser quelqu'un.

"-Il ne me semblent pas savoir grand chose... Ils ont l'air d'etre des illuminés se disant en communions avec la nature... Quelle absurdité ! Cependant il peut nous apprendre des choses sur la raison de notre arrivée ici. Sinon je ne vois pas de raison valable pour nous comparer à "ca"."

Dit il en montrant Loucas, encore excitée, du doigt. Elle ne pouvait etre confondue avec eux, pensait il alors sans la moindre hésitation.

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Akito

Akito

Sur la grande plage de sable était apparut une nouvelle silhouette pas plus grande que la litriène, elle se relevât petit a petit, son visage et son corps se firent de plus en plus précis pour enfin laisser apercevoir un jeune lycéen, âpres quelque minutes de labeur il réussi à se mètre debout mais retombât la seconde même à terre, il regarda ses pieds et aperçu les rolleurs avec lesquelles il avait fait sa chute un peut plus tôt, sauf qu'il était un peu diffèrent au niveau de ses roues, elles étaient acéré et irrégulière a la manière des dents d'un requin.
Il se relevât et grâce à ses roues réussi à tenir debout malgré l'immensité de sable sur laquelle il se tenait, il décrochât les lanières et les crochets sur lesquels il s'était accroché un peu plus tôt et le rangea dans son unique poche.
Il regardât un bref instant le soleil laissant apparaître son bandeau.


" Soleil .. tu fait mal aux yeux ...."


Il rabaissât la tête et se desida enfin a bouger un peu. Apres quelque minutes de "marches" il aperçut un groupe de personne en haut d'un temple et gravit les marches avec aisance malgré ses rolleurs. Malgré qu'ils est l'air plonger dans des conversation sérieuse il posât une simple question sans que personne ne lut remarquer avent .

" Heuuu.... S'est où ici ? "

Paradize

Paradize

* Paradize avait donc suivi Sérentei qui, lui-même, était guidé par Loucas, la chatte mi-humaine, mi-animale. Elle les emmenait vers une espèce de temple. Il était grand, voire même imposant. Il paraissait désert et empli de pleinitude. L'atmosphère qui y régnait était tranquillisante. Loucas les amena en bas d'un escalier à faire fuir illico presto tout flemmard. Pour un terrien, il paraissait aussi grand que l'Everest. Et pourtant, ce n'était qu'une impression fausse, une illusion d'optique, il faisait à tout casser une centaine de marches.
Paradize regarda Sérentei qui lui fit signe de le monter afin de suivre Loucas. Ils s'engouffrèrent donc dans une ascension essouflante d'un escalier dont les marches étaient faites de marbre. Un marbre couleur beige qui reluisait au soleil, la chaleur se faisait de plus en plus présente, et surtout pesante.
Paradize s'arrêta pour souffler un moment et scruter les horizons. Il pouvait voir l'endroit d'où ils étaient venus. Ils en avaient parcouru du chemin. Puis il repartit car il avait vu que Sérentei l'attendait avec un air quelque peu impatient. Alors il reprit la marche et arriva enfin au sommet. Il vit alors Loucas se précipita vers une personne qui arrivait vers eux. Paradize s'approcha de Sérentei et lui demanda s'il la connaissait.

Tout à coup on entendit une détonnation retentissante mais mise à part Loucas qui s'enfuit vers le lieu d'où venait le bruit, personne ne bougea, et la presonne qu'ils ne connaissait pas n'avait pas l'air de se soucier du bruit, comme si ce dernier était habituel...
*

"- Dis Sérentei, je peux aller voir où est allé Loucas pendant que tu montres à ce vieux bonhomme que tu n'es pas tout à fait inculte ?

* Paradize s'était avancé lorsque Sérentei l'avait présenté. Mais Sérentei semblait déjà ne pas aimer la personne en face. Apparamment cette dernière les classait comme des litriens, et Paradize avait compris que les litriens étaient apparamment des êtres faibles d'esprit, qui avaient même du mal à communiquer... MAis bon Paradize s'en fichait un peu, il aimait bien Loucas, mais en même temps, il aspirait à mieux et n'avait pas non plus envie de lui ressembler. Ca devait surement être génant d'avoir une queue à la longue... Beurk ! Se lécher sans arrêt n'était pas du gout de Paradize.
Finalement, sans attendre la réponse de Sérentei, il alla faire un tour et il rencontra une jeune personne qui semblait elle aussi perdue dans ce monde. Paradize s'approcha de cette personne, l'aida à se relever et lui répondit...
*

"- Euh... je ne sais pas où nous sommes... Ah si ! Dans un temple mais sinon je n'en sais pas plus. Tu es qui ? Viens, suis-moi ! "

* Cette personne semblait avoir son âge environ. Il le ramena vers Sérentei, et se posa à ses cotés. Mais il était déçu, il n'avait pas vu Loucas. En plus Sérentei avait l'air d'avoir les gros yeux... *

"- Dis regarde qui j'ai trouvé ! Il était tout seul... Il parait bizarre je trouve..."

* Paradize en avait marre de marcher alors il s'assit près de Sérentei et attendit... *

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Loucas

Loucas

Donc, Loulou-chan apparemment vue comme une bestiole s’en cervelle était perché en haut de sa colonne. Elle regardait les alentours avec attention, sans réellement se soucier des grosse chose, juste les détaille amusant l’attirait.

En fait, le chat n’était pas si bête qui l’y paraissait. Les litirien, contrairement a se que peuvent penser les hommes on une grande ouverture d’esprit ! Il apprendre plus vite que la norme, mais surtout, il sont ouvert a tout ! La seul chose qui les font paraître bête c’est qu’il adore jouer ! Vieux ou jeune, les litirients joue sans arrêt.

Mais d’un autre coté, un litiriens n’en serais pas un si il ne jouer pas tout le temps non ? bref, a par se petit défaut qui au yeux des autres font paraître sa race comme inférieurs et soumise, digne d’un jouer, les litiriens on une capacité un peu spécial de sentir les émotions des autres.
De plus, il sont extrêmement attachant et rusé !

Donc la petit Loucas, du haut de son perchoirs regardait Paradize et Serentei et le pauvre jeune homme qui venait d’atterrir la. Elle se lâcha alors, faisait une chute de quelque dizaine de mètre, pour atterrir accroupi sur ces papates douce en formes de main et de pieds humain. Oui elle avait des mains humains, avec des griffes certes, et des pieds nue humain eux aussi.

Mais voilà, pas pour décrire ces trait physique que Loucas saute au sol. Elle s’approchait de Paradize, t’attend de rester discrète, et de ne pas attirait son attention ! Puis elle sauta. Sur le dos du jeune homme. Léchant sa joue et l’entourant de ces bras

« Nyaaa !!! ^^ »

La jeune fille eut un sourire, restant sur son dos puis regardant a droite et a gauche.

Du coté de Serentei, l’homme de temple lui parler de la stupidité des litiriens, et aussi, un peu de la sienne … Pour lui, les gens qui ne sont pas pour son dieux son aussi stupide que des animaux, et donc, Loucas, étant une litiriennes et considérait comme t’elle ! Un animal … Et pourtant, peut on dire qu’elle l’est ? « Je pense donc je suis »Avait dit un humain !

Bref, L’illuminé parla encore :

« Venez jeune âme, vous et vos compagnons, je vous vous montré la sagesse de mon dieux ! »

Loucas sauta du dos de Paradize, se rapprochant ensuite de Serentei. Discrètement, mais avec un sérieux tout nouveaux a la vision de l’illuminé… Qui ne faisait plus attention a elle, mais a ces « futurs disciples »

Donc il continua de parlé

« Venez, je vous conterais les exploits de ce dieux et de ses prophètes ! »

Avant même que Serentei n’eut pu répondre Loucas lui prit la main le tirant un peu pour qu’il face attention a elle. Pour qu’il baisse la tête. Elle lui fit un petit sourire, puis fit non de la tête … Pourquoi ? Comprenait elle se qui les attendaient ? En tout cas, elle baissa les yeux sur l’ange au aile doré qui gardé le temple et s’approcha de quelque pas.. Se plaçant juste devant Serentei, qui le dépassé de quelque tête.

Mais la nouvelle assurance de Loucas en valait bien d’autre et son visage angélique aurais pu montré l’intelligence de son esprit délicat si seulement la considération du templier pour elle n’était pas aussi basse…

En tout cas, Loucas avait un petit sourire délicat.

« Qui a t’il Loucas ?! Tu n’es pas assai subtile pour comprendre l’intérêt de notre dieu ! »
« Myaaaaa. »

Joignant les mains, elle ferma les yeux, le son plus ou moins humain qu’elle produisait entra en résonance avec le temple parcourant celui ci, le secouant d’un frisson… La terre trembla et le templier recula.

« Loucas ?! N’utilise pas sa ici ! Je te l’es déjà dit ! »


Mais elle continuait, la terre vibrait, puis Loucas s’arrêta, levant une main vers l’homme.

« Ton … dieu … est … Mort … »
Le templier recula regardant la litirienne prononçait des mots diffamatoires…

« Sept (dieu du mal égyptien) … est … Mort. »

La litirienne, les yeux devenue rouge la main levé vers le templier qui la regardait… Quelque peu ahurie.

« Mon dieu ne peut pas mourir si facilement ! »
« Si. Seth Mauvais. Seth Mauvais dieu. Seth mourir. »

Alors la litirienne eut un sourire de biet elle ferma les yeux puis joignit une nouvelle fois les main, mais cette fois sans un son. Puis elle Secoua la tête, ces yeux reprirent leurs couleurs bleu turquoise ou presque, mais aussi leurs allure enfantine a la limite de la stupidité

« Mya ? »

Elle se tourna vers serentei.

« Mya mi ! »

Elle fit non de la tête, une nouvelle fois comme pour le dissuadé de suivre le templier…

Akito

Akito

Akito avait était forcer a venir par la main d'un homme semblant ce nommé Paradize il n'avait pas fait quelque "pas" qu'il se retrouver deja a coter de ce groupe de personne, il souriait bêtement et surment par habitude. Commencant a entendre quelques une de leurs paroles il comprit qu'il ne comprendait justement pas ^^" Il commencat a tourner avec ses rollers mais remarquat qu'il rayer le sol et y creusait des entailles alors il s'arretat et ne bougit plus .
Soudaint une chose tombat de l'un des pillier sans bruit et sautat sur le dos de Paradize, cette "chose" avait l'air humaine finalement sauf qu'elle etait doter d'une queue et d'oreille resemenblant a ceux d'un chat, il restat les yeux fixer sur ceux la queue et gueter le moindre de ses mouvement, a certain moment il avait même envie de sauter dessus comme un petit enfant mais se rapellat de son problème de roues et resta figer bêtement ...
Soudain il apperçut le nouvel être cogner des mains et quelque temps apres le sol s'etait mit a trembler de peut et l'entendit prononcer des mots parlant d'un dieux qui serait il mort ... Cette être est un humain qu'il n'avait pas aperçu avent s'échange des paroles et le sol s'arretat de vibrer, il n'avait pas vraiment comprit se qui c'etait passer mais avec son tout petit petit poids il comprit a peut près que c'est deux gens était d'avis inverse ..


" Moi je rentre pas la dedant .. En plus quand y parle je comprent pas beaucoup, moi je vait avec elle .. "


Il s'approchat de cette être dont il avait entendut le nom Loucas, il s'approchat mais glissat et ne pouvant pas se rattraper avec ses mains a cause de ses manches dessendit en rouler toute les marches avent de remonter. Puit il s'asseyat a coter de paradize en souriant .

Mutsunokami Serenteï

Mutsunokami Serenteï

"- Dis Sérentei, je peux aller voir où est allé Loucas pendant que tu montres à ce vieux bonhomme que tu n'es pas tout à fait inculte ?

"-Hmm... oui oui vas y !"

Les mots de Paradize passaient dans une oreille, déclenchaient une réponse automatique, t ressortaient par l'autre oreille comme ils étaient venus. Serenteï ne portait désormais plus d'attention à personne sinon le viel homme qui semblait en connaitre beaucoup sur autant de choses. Les réponses qu'il cherchait pour lui et pour Paradize se trouvaient surrement dans la tête de cet homme qu'il se montre prétentieux où non. Les gens de son espèce ne plaisaient généralement pas au chercheur avide de connaissances mais cette fois-ci il faisait abstraction de ses etats d'âme, inconsciement, ne pensant qu'à comprendre ce qui leur arrivait. Il souhaitait savoir où, comment, et surtout pourquoi ils etaient ici. Son sort il le lié inconsciement à celui de Paradize dont il ne pouvait même pas douter qu'il fut dans le même cas que lui. Pourtant rien ne l'en assurait et il était bien une de ces personnes à toujours s'assurer des choses avant de les croire aveuglement, mais cette fois tout était différent et c'était dans cette nouvelle configuration qu'il devrait vivre. Il le sentait, il ne revait pas, ni n'était dans un simple coma, il se trouvait dans un monde qu'il ne connaissait pas, un monde dont il cherchait maintenant à connaitre les règles élémentaires. Ces règles le viel homme les connaissait, cela faisait deux choses dont ne doutait plus Serenteï.

Les grandes allées, ouvertes sur les cascades fraiches du temple à l'architecture resoluement aztèque, semblaient renfermer la sérenité que tout être recherche, suffisement forte pour satisfaire mais aussi suffisement discrète pour ne pas etouffer l'âme dans le néant psychique. Ici il semblait impossible de se sentir mal, d'avoir du chagrin ou encore de souffrir et cette idée était confirmée par les gens que l'on pouvait observer depuis la haute allée construite au travers d'un etang alimenté par les chuttes d'eau. Leur bruit, loin d'être assourdissant, respirait la douceur et la tranquillité. On se serait crut dans un conte d'Omer avec les jeunes nymphes prenant le temps necessaire à la toilette. Faisant un léger contraste avec cette vision de charme les moines entièrement de noir vétus et dont le visage était masqué par la capuche à pointe. De leur corps, et mis à part la silouette suggérée par des vêtements bien larges, on ne voyait que leur poignets qu'ils ne parvenait pas à cacher dans leurs manches et que les gants noir ne couvraient pas complètement. Troublante vision qui faisait penser à d'ancienne religion qu'avait étudié le scientifique. Bien qu'il ait un préjugé négatif sur les religions il préféra oublier à l'instant ce détail insignifiant et poursuivre le garrant de la connaissance qu'il convoitait.

"-Pourra t-on connaitre le nom de celui qui se propose de nous offrir de tels services ?"

Alors qu'il s'appretait à répondre Paradize réapparut accompagné cette fois d'un jeune homme sur roues qui semblaient au moins aussi perdu qu'eux. D'un regard amical Serenteï lui fit alors comprendre qu'il pourrait se joindre à eux sans avoir de compte à rendre assurant ainsi de se débarasser d'éventuels malaises. Coupé dans sa réponse et surtout parce qu'un nom il n'en avait pas qu'un le viel homme décida d'occulter la question de Serenteï, faigant de ne l'avoir entendue. Ce dernier aurait surrement déjà oublié l'avoir posé.

Alors qu'ils arrivaient devant un large autel en face d'une statue tout aussi large d'un Dieu à la tête d'un chacal Loucas, la Lithirienne qui les avaient laissé peu de temps auparavent refit surface pour "dialoguer" avec le sage. Un étrange sentiment envahit alors l'esprit du jeune chercheur, quelque chose d'inhabituel se passait entre la femme-chat et le viel homme qu'il n'aurait sut expliquer. Il sentait qu'un lien fort s'était établit entre eux mais la nature de ce dernier restait obscure. Le temps sembla arreter toute course et seule l'incomprehension absolue sembla reigner alors. Cette même impression qu'il avait cherché à fuir durant toute sa vie. Il chercha alors de nouveau un point de repère autour de lui mais plus rien ne lui obeissait, il n'était plus sur de rien et ce qui se déroullé devant lui avait fait ressurgir la haine qu'il nourrissait envers ce qu'il ne pouvait comprendre. Puis, alors que tout redevenait "normal" et qu'enfin il se débarassait de cette supportable impression, il ferma les poings et ne put qu'extérioriser ce qu'il avait tant soufert à emmagaziner. Un hurlement de colère retentit alors dans tout le temple, seul trouble opposé à la quiétude imperméable du lieu.

"-Je ne peux en supporter davantage ! Allez-vous combler nos lacunes ou vous contenterez-vous eternellement de nous guider vers un inconnu encore plus profond ? Je ne deumerrerait pas ici un instant de plus si je n'y apprend rien de ce qui m'interesse ! Que faite vous avec cette fille ? Quel est cet endroit ? Que faisons nous ici ? Qui êtes vous ? Et pour finir, pourquoi sommes nous là ? Voila ce que nous cherchons à savoir, ne nous faites donc pas languir de mille mytères pour nous offrir les réponses simples que nous attendons !"

Sucitant l'interet général Serenteï, proche de la transe et se tenant à moitié comme une bête laissant tomber ses cheveux devant son torse, ne tenait plus la situation sous controle. Il lui devenait insupportable de se tenir là où il ne comprenait même pas l'organisation générale. Le viel homme, auparavent excedé par l'attitude négative de Loucas envers sa religion, reprit son calme pour en transmettre à son jeune ami Serenteï.

"-Tous ici faisons parti de la même famille. Celle qui a pour seul père le grand Seth, le Dieu rouge. Nous vivons ici serreins et recherchons la paix dans l'eternité et l'eternité dans la méditation. Nous cultivons une grande ferveur et recuillons les voyageurs égarés afin de les guider dans leur nouvelle vie, la mort. Nous désapprouvons toute forme de violence et cherchons avant tout l'élévation des esprits supérieurs, dont les animaux ne peuvent faire partit. Bien qu'ils soient tolérés en ce lieux, les Lithiriens restent des animaux et servent à attirer ici les voyageurs perdus dans l'immensité du desert. Ici, comme sur chacune des plages nous servons principalement de lieux de passage aux âmes en quête d'une nouvelle vie. Mais cela peut ne pas être votre destin si vous le souhaitez ! Vous pouvez aussi decider de rester dans l'ignorance du reste du monde et persister à rechercher la voie de l'élévation parmi nous."

Durant le long discours du viel homme Serenteï trouva moulte reponses à ses questions et par la même occasion un moyen d'appaisser sa colère. Il se redressa et ecouta les sages paroles de l'homme qui devenait de plus en plus fanatique à ses yeux au fil de ses phrases. Voyant que l'homme parlait ici des les convertir à sa religion il recula d'un pas et bouscula Paradize pour le faire reculer lui aussi. Les yeux ecarquillés et un mouvement de négatition incessant à la tête exprimaient déjà ce qu'il ne mit pas longtemps à dire.

"-Non... Je ne suis pas venu chercher l'ignorance mais la connaissance ! Jamais je ne pourrais vivre parmi des gens qui se contentent de ne voir que ce qu'ils veulent voir du monde qui les entoure. Je suis mort donc... mais puisqu'n m'offre la possibilité de vivre au delà de cette mort je ne la gacherait pas par la mort de mon âme. Je ne me fermerais pas au monde... Viens Paradize, nous partons. Ces gens ne savent rien !"

Sans savoir pourquoi Serenteï alimentait l'idée qu'on chercherait à les retenir de force et afin de parvenir à s'échapper c'est tout naturellement qu'il se mit à courir vers la sortie du temple. Le viel homme fut alors surprit de l'attitude quadoptait Serenteï et s'empressa d'envoyer un moine le poursuivre avec un message. Le visage qu'il affichait n'était pas celui de quelqu'un de renfrogné mais de quelqu'un d'inquiet.

"-Les monstres rodent dans le desert... pourvus qu'ils en soient informés avant qu'il ne soit trop tard ! ... ... Loucas ! Va donc vite les prevenir ! Tu seras plus rapide que le moine... Et aussi plus efficace s'ils venaient à rencontrer un Morkas..."

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Paradize

Paradize

* Le temps passait, le soleil avançait dans le ciel. Les couleurs variaient à présent avec la diminution progressive du soleil. Le crépuscule commençait à peine à apparaître et pourtant il faisait encore bon. Existait-il des saisons ici ? Tout semblait si semblable à leur ancien monde et malgré tout ce monde-ci paraissait si différent, semblable dans la différence ou différent dans la similitude... Ce monde était vraiment bizarre. Paradize voulait repartir dans son monde à lui.

La terre avait tremblé, fortement, comme si un dieu était en colère. Paradize avait pris un air quelque peu appeuré car il savait très bien que dans toutes les mythologies il ne faut en aucun cas contrarié un dieu sinon on s'attire ses foudres et sa colère, ce qui est rarement bon. Paradize regarda Loucas d'un air complètement interloqué car apparamment c'est elle qui avait fait trembler la terre. Cette secousse en aurait fait tomber Paradize s'il n'avait pas été déjà assis. On aurait dit que la terre frissonnait ou vibrait face à un son, ou quelque chose dont ni Sérentei, ni Akito, ni Paradize n'avait connaissance mais qui provoquait une réaction plus ou moins normal avec la terre. Et puis, ce tremblement cessa soudain et Paradize ne sut toujours pas pourquoi...

Puis Sérentei reprit la discussion avec l'homme d'âge fortement avancé. Plus ils parlaient ensemble et plus Paradize avait l'impression que l'homme devenait sénile et gâteux avec Loucas. Un peu comme s'il perdait la raison, d'ailleurs il se mettait à parler d'un dieu sage et unique du nom de Seth, or Paradize savait qu'il ne pouvait pas être unique. Déjà parce qu'il existait déjà Dieu, et que en plus Seth était un dieu égyptien et qu'il y a toujours eu plusieurs dieux dans les croyances antiques de l'ancienne Egypte. Paradize ne comprenait pas tout du coup. Cette histoire de dieu était vraiment étrange. Mais après tout cela pouvait n'être qu'un canular, ce n'aurait pas été la première fois que cela arriverait. Des charlatans, il y en a partout alors pourquoi pas ici après tout ??

Paradize commençait à ne plus faire attention à ce qui se passait autour de lui quand tout d'un coup une voix grave l'interrompit dans ses pensées. Il se retourna pour voir d'où elle provenait mais il fut surpris de voir qu'il connaissait déjà la personne. C'était Sérentei qui était en train de s'énerver comme le ptit vieux parce qu'il voulait, en tant que bon scientifique, des réponses à ses questions alors que le viellard, lui, faisait semblant de ne pas avoir entendu les questions. Il feignait la surdité passagère, alors Sérentei s'était mis à hurler pour se faire entendre, ou plutôt parce que ses nerfs avaient laché... Mais n'empêche qu'ainsi, il put obtenir les réponses qu'il voulait, bien que ces dernières ne lui convenaient pas. Tout à coup, il bouscula Paradize pour le faire reculer et le prit par l'épaule pour l'emmener avec lui... Mais Paradize se débattit et le regarda avec un air indigné si bien que Sérentei dut s'excuser. Puis Sérentei lui expliqua que bizarrement l'air était devenue malsain, un peu trop fanatique, et qu'ici ils ne trouveraient pas leurs réponses. Il suggérait donc de partir pour explorer les environs. Paradize soupira...
*

"- Qu'y a-t-il encore Paradize ? C'est pour notre bien, ici, à mon avis, ils sont tous des fous prêts à nous enfermer jusqu'à obtenir notre conditionnement. Je suppose que tu n'en as pas envie !! "

"- Il y a que j'en ai marre de marcher, je ne suis pas un aussi grand sportif moi. Je commence à avoir mal aux pieds ! Et puis d'abord, je veux pas devenir moine moi ! Je ne suis pas un scientifique mais je tiens à ma liberté quand même non mais ! Roh c'est vrai quoi, finir toute sa vie dans le même batiment... Beurk !! Et toi Akito tu fais quoi ? "

* Et puis sans attendre de réponse de Sérentei, ni celle d'Akito non plus, il sauta sur son dos, s'aggripa fermement et le voilà prêt à partir. *

"- Voilà, comme ça on peut aller absolument partout où tu vas voudras ! fit-il avec un sourire plus large que ses épaules. Mais tu veux que l'on aille où ? Moi je ne connais rien ici ! "

* Ils commencèrent donc à s'éloigner de quelques pas puis Paradize mit ses bras autour du coup de Sérentei ( en prenant soin de ne pas l'étrangler quand même lol ) posa sa tête contre celle de Sérentei, ferma les yeux. Il ne voulait pas dormir, mais il avait sommeil. Non, il ne fallait pas qu'il dorme, il y avait tant à voir comme paysage, il ne voulait rien rater. Mais ses yeux étaient si lourds... Il s'assoupit quelques instants, bercé par le vent qui soufflait sur sa peau et l'allure ni trop lente, ni trop rapide de Sérentei. Puis tout d'un coup, il se réveilla. Un petit somme et ça allait déjà mieux, il avait retrouvé son habituel sourire qui redonnait force et chaleur aux gens. Sérentei venait de s'arrêter mais il ne savait pas pourquoi. Paradize en profita donc pour jeter des coups d'oeil un peu partout pour voir ce qu'il avait raté. Puis il vit quelque chose bouger derrière des buissons qui se trouvaient là. En effet, Sérentei venait d'arriver tout près d'un oasis. Il commeça à parler à Sérentei mais celui-ci ne l'écoutait pas alors il lui mordit un peu l'oreille puis lui chuchota quelque chose... *

"- Regarde là-bas, on dirait qu'il y a quelque chose qui bouge doucement ! Lui dit-il en pointant les buissons du bois. C'est quoi ? J'espère que ce n'est pas un monstre tout gluant et velu, beurk beurk beurk ! "

* Puis il inspira profondément et retint son souffle... *

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Loucas

Loucas

Sans se faire prier Loucas avec donc suivie le petit groupe de voyeurs! Akito, Serentei et Paradize.

Elle avait vu sauté Paradize sur le dos de celui au cheveux clair, elle avait donc fait de même avec Akito! Qui et elle ne lâché pas prise! Elle bougeai beaucoup! S'amusant, mais elle était assai legere!

Donc, la jeune fille avançait en compagnie des autres, les écoutant, sans semblait les comprendre et pourtant comprenant les sentiment cacher derrière leurs geste et leurs mots.

Loucas tourna les yeux vers le buisson d'ont parlé Paradize, regardant se dernier avec un léger mou decu. Elle descendît du dos de Akito puis s'approcha du buisson a quatre pâte... De telle sorte a se que sa queue soie haute et balance de droite a gauche!

Mais malheure, les trois homme derrière elle purent voir sa petite culote à fleur jaune ... Ba oui, Loucas portait des vêtement un peu déchirait et quelque peu petit pour elle! Une jupe noir et une chemise de même couleur! Mais rien d'autre.

Donc, elle avança a pas de loup vers cette endroit, les main posait sur le sable chaud...

" Nyu? "

Le buisson frissonna encore ... Un grognement. Puis la queue de Loucas s'agita encore plus vite! Elle sourit et sauta dans le buisson ... Quelque instant plus tard apres oulte mouvement dans le buisson, la demoiselle en resortie avec une bestiol dans les bras! Un petit renard du desert.... Qui jouet avec une meche de cheveux de Loucas...

" Niii ! ^^ "

Elle le montra a paradize, et le petit renard lui montra l'étendu de ces croc blanc avant de sauté pour s'échapé dans le sable.

" Ni ni! ^^"

Elle fit signe au renard qui courait, comme pour lui dire orevoir. Puis, elle se tourna vers les individus pres d'elle et montra le ciel.

Le soleil coulé a l'horizon. Tintant le ciel de couleur rose.

" Nyaaa !!! "

Loucas leva la tête vers le soleil couchant .. Puis soupira baissa la tête vers le sol touchant le sable grattant un peu puis se retourna pour recommençait son grattage, sans savoir se qu'elle cherchait ...

Mais se fut au même moment que Serentei lâcha brusquement Paradize qui s’écrasa par terre ….. Le pauvre petit ange ! xD

Serentei, se tournant vers paradize, lui dit en levant le doigts :

Serentei : arrête de me mordre ! C’est normal si je t’écoute pu si tu n’arête pas de blablaté ! ><

Mutsunokami Serenteï

Mutsunokami Serenteï

"-Le soleil se couche dejà et nous n'avons trouvé aucun abrit pour la nuit... Nous n'aurions pas dû nous arreter dans ce temple, ils nous ont fait perdre du temps et nous n'avons apprit qu'une chose, ici les gens peuvent aussi etre fanatiques. Qui sait quels genres d'animaux habitent ce desert... Tout ca c'est de la faute de cette..."

Et alors qu'il allait désigner Loucas, rageur, se rapellant que c'etait elle qui les avait conduit jusqu'au temple, Paradize s'etonna de voir un buissons bouger quand Serenteï lui s'etonnait de voir un buisson en plein desert. Comment une telle végétation pouvait elle trouver les ressources necessaires à sa survie dans un milieu aussi hostile ? L'idée lui arriva dans la tête mais il n'eut pas le temps d'emettre une hypothèse la dessus que Loucas se fit remarquer en plongeant dans la seule plante à des kilomètre à la ronde. D'abbord géné d'avoir vu ce qu'elle avait malencontreusement montré en se mettant à quatre pattes devant le buisson Serenteï détourna son regard avec un air entre amusement et gêne. Il n'aurait pas caché que la vue lui avait plut pour une courte durée mais malgrès cela il gardait un certain tacte et préféra éviter le sujet. Lorsqu'elle resurgit elle tenait un petit renard dans ses bras. Ce dernier s'enfuis dans le buisson et la jeune-fille poussa des gemissements aigues. Le visage de Serenteï affichait l'incomprehension dont il était la victime encore une fois.

"-Mais c'est quoi ça ? Un buisson en plein desert et maintenant un renard qui en sort... Décidement je ne comprends rien à cet endroit. Toutes ces choses sont parfaitement irrationnelles, à commencer par toi Loucas ! Ton apparene animale est un vraie abération, et je ne parle pas de ce que nous avons vuu lors de notre arrivée sur l'île. Et toi, je ne connais pas ton nom mais je m'etonne que tes rolleurs ne t'enfonce pas dans le sol friable et sablonneux. Tout ceci n'a pas de sens. Au milieu de nul part... voila où nous sommes. Je dois être en train de délirer ou alors je vais me reveiller !"

Regardant en tout sens s'il voyait une nouvelle incohérence à citer Serenteï semblait une fois de plus afficher son mécontentement. Etait-il le seul à ne rien comprendre ici ? C'etait à croire, puisque personne ne se posait de question. Ne voyant rien a ajouter et s'etant auto-convaincu qu'il revait il chercha un moyen de se sortir de là, en utilisant de vieux clichés. Il se pinca d'abbord et ressentit un légère douleur ce qui était mauvais signe mais sans se résigner il se rappela qu'en prennant conscience qu'il revait il pouvait se reveiller et pour cela il n'avait qu'à multiplier les incohérences entre elles. Il quitta alors le groupe en partant dans la direction opposée au temple dans le but de trouver quelque chose qui pourrait l'aider mais mis à part du sable l'endroit était vide. C'est donc avec le sable qu'il se sortirait de ce monde incohérant. Il s'imagina alors qu'il marchait non plus dans du sable mais dans des sables mouvants qui l'entrainaient vers les profondeurs des abîmes. Au moment où il rouvrit les yeux il regarda autour de ses pieds si quelque chose avait changé. Ne voyant rien de différent il s'enerva d'abbord et poussa un grognement d'agacement puis il se concentra et refit la même démarche intellectuelle avec un peu plus de convictions cette fois. Toujours rien sinon un cri d'enervement. Obstiné il recommenca avec cette fois une bonne dose d'adréanline dans les veines, du moins il se sentait comme si c'était le cas. Il rouvrit les yeux et cette fois le sable avait laissé place à une marre noirâtre dans laquelle il était prit desormais jusqu'aux genoux. Satisfait il venait d'avoir la preuve qu'il cherchait, du moins il le crut durant quelques instants. Il entendit le bruit de course d'une bête venir dans sa direction, celle-ci l'attrapa frontalement par les hanches et le sortit du piège dans lequel il s'était lui même fourré. Le supposé animal avait de belles aîles d'oiseau, la tête et les pattes d'un faucon mais disposait malgrès tout de deux bras et d'un torse tout ce qu'il y a de plus humain. Sa taille, en revanche, approchait plus celle de l'animal auquel il ressemblait qu'à celle de l'homme.

Cela n'était pas prévu, il n'avait pas imaginé se faire secourir par qui que ce soit. En fait il avait tout simplement oublié que qui-que-ce-soit existait et faible ne fut pas sa surprise de voir qu'encore une extravagence se présentait à lui. Il comprit dès lors qu'il ne revait pas. D'abbord il crut que l'oiseeau voulait le prendre pour repas mais ce dernier prit la parole et le coupa dans ses idées et inquiétudes.


"-Je vois que vous avez comprit comment fonctionne notre monde jeune homme. Mais vous n'en mesurez pas encore tous les risques. Heureuse de voir que vous avez franchit le premier cap. Ne faites pas cette mine effarée, vous savez déja qui je suis, votre gardien bien sur. Je garde un oeil sur vous le temps que vous soyez autonome. Bien, vous n'avez plus beson de moi pour le moment."

Puis l'oiseau s'envolla aussi vite qu'il était venu laissant Serenteï avec des yeux plus ecarquillés que jamais. Il essayait de se convaincre qu'il n'avait pas vu ce qu'il avait vu mais les yeux percant du faucon avait été tellement proches et l'avait tellement traversé qu'il voyait mieux ce souvenir que ce qui se trouvait en face de lui. Il était assis, les jambes étendues sur le sable et les bras derriere lui pour le soutenir, et il demeura dans cette position un long moment, tétanisé. L'instant lui sembla durer une eternité mais il ne fallut que quelques secondes à Loucas pour arriver. Elle n'avait pas vu l'oiseau lui parler mais l'avait vu s'en aller et savait donc déjà ce qui s'était passé. Elle regarda Serenteï de son air appitoyant dont tous les chats ont le secret. Une frimousse mignonne autant que polissonne. Puis elle posa une main sa joue pour lui tourner le visage afin qu'il ne regarde qu'elle. A cet instant Serenteï sortit de sa letargie ferma les yeux et posa une main sur son front en se plaignant comme si son crâne le faisait souffrir.

"-Niah ? Ni ny i ni"

Obtenant ainsi l'éveil de Serenteï, Loucas lui sauta dans les bras avec un large sourir et afin d'attirer les deux autres jusqu'ici elle formula le seul mot qu'elle prononcait si parfaitement. Dans un mélange de contentement de revendication et d'amusement.

"-NYAAAAA !"



Dernière édition par le Sam 22 Déc - 19:48, édité 1 fois

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Paradize

Paradize

* Après quelques instants durant lesquels Paradize avait légèrement déconnecté car il s'était perdu dans ses pensées, il reprit conscience qu'il ne vivait pas dans son propre monde, bien qu'il lui plaisait plus. Il se revoyait encore avec son grand frère qui lui apprenait mil et un truc dès qu'il le pouvait, qui jouait avec lui, enfin surtout qui le protégeait et avec qui Paradize avait une complicité énorme. Mais, plus le temps passait dans le monde actuel, plus les souvenirs de Paradize s'effaçaient sans qu'il ne sache pourquoi, et surtout le plus bizarre, c'est qu'en fait, il conservait ses souvenirs, seulement les visages qui se trouvaient dans ses souvenirs devenaient de plus en plus flous, il se subsistait en fin de compte que les contours.

Il essayait pourtant de se forcer pour garder en mémoire le visage de son frère, mais en vain, plus il essayait, plus son visage s'effaçait. C'en était exaspérant, alors il laissa tomber. Cependant, cela le laissa perplexe, c'était comme si ce monde tentait d'annihiler tous les souvenirs antérieurs à la vie ( ou la mort, il ne savait plus trop ) qu'il avait maintenant. Il eut subitement une envie de fuir, mais un bruit le ramena à sa réalité, un bruit ou plutôt un cri : Loucas venait de se faire plus ou moins attaquer par un renard. Il regarda d'abord la scène avec stupéfaction. Un renard, en plein milieu du désert ? Encore un oasis, ça existe, mais un renard... Il y avait quoi rendre dingue.

Au départ, il ne fit pas tellement attention à Loucas car il avait vu Sérentei partir, alors Paradize commença à le suivre, puis il se stoppa pour la simple et bonne raison que Sérentei avait fait de même. Sauf que Sérentei avait le visage déformé par quelle chose, comme si il essayait de se concentrer. Bizarre, oui c'est ça, bizarre. Paradize le regarda avec un regard totalement surpris. Certes, il ne le prenait pas pour un fou mais bon il se dit que le soleil devait surement cogner, mais impossible de savoir l'heure, à part le fait qu'il en avait marre de marcher et qu'il était fatigué, ce qui annonçait surement la fin de journée, mais rien d'autre ne le confirmait.

Tout à coup, quelque chose apparut sous les pieds de Sérentei. Quelque chose de visqueux, de marronâtre et d'une puantueur extrême, si bien que Paradize recula légèrement et il eut raison car il vit son ami s'enfoncer à une vitesse folle, mais ce dernier ne semblait pas en avoir conscience. Paradize continuait de le regarder, interloqué, quand encore plus soudainement, un espèce d'oiseau vint le tirer de cette mare marécageuse et commença à lui parler.

* Je dois devenir complétement marteau, un oiseau ça ne parle pas, d'ailleurs je ne comprends pas ce qu'il dit !! Mais ce qui est bizarre, c'est que j'ai l'impression qu'il communique avec Sérentei car on dirait qu'il acquiesse... *

Puis sans demander son reste, l'oiseau s'envola aussi rapidement et étrangement qu'il était venu. Paradize alors approcha de Sérentei et lui demanda de raconter ce que l'oiseau mystèrieux venait de lui dire. Sérentei était sur le point d'ouvrir la bouche, quand tout à coup on entendit un autre miollement.
*

"- Nyaaa, ny, ny, oiseaunyaaa !! " dit-elle en se léchant les babines

"- Ah non, elle ne va pas nous interrompre maintenant, je veux savoir ce qu'il vient de se passer, moi ! "

* Mais c'était trop tard, Loucas venait de bondir sur Sérentei et ils firent de joyeux roulés boulets !! Enfin ce n'était pas du gout de tout le monde car Sérentei se releva mécontent, mais il ne dit rien. Puis son visage s'illumina de nouveau, sans que personne ne sache pourquoi. L'autre garçon lui-même n'avait pas bougé, mais il semblait totalement inactif. Loucas aussi, d'ailleurs ne s'était pas relevée, on aurait dit qu'elle s'était endormie.

Paradize sauta alors sur l'occasion pour redemander à Sérentei ce qu'il venait de se produire juste sous ses yeux. Il souriait sans savoir pourquoi. Peut-être était-ce parce qu'il avait la vague impression que Sérentei avait découvert quelque chose qui pourrait très bien être utile par la suite. Il se mit alors à imaginer des confétis, une petite fête pour marquer l'évènement, mais quand Sérentei toussota, tout ce qu'il s'était produit était que la nuit était tombée, et qu'il s'était mis à neiger. Sauf que, et même Sérentei n'en revenait pas lui-même, la neige était de toutes les couleurs, ou plus précisément, de la couleur des confétis dont Paradize venait juste d'imaginer.

Seulement Paradize était trop occupé à essayer d'attraper les flocons avec sa langue pour s'en rendre compte...
*

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Mutsunokami Serenteï

Mutsunokami Serenteï

-"Je comprends ce monde ? Qu'à t-il voulut dire ? Non, qu'à t-elle voulut dire... Loucas, toi qui semle habiter ici depuis plus longtemps que nous, pourrais-tu nous renseigner ? ... Peut-etre que tu ne sais pas parler, mais tu sais te faire comprendre n'est-ce pas ? N'y a t-il pas qelqu'un qui puisse nous aider ?

Le sable lui rentrait dans les vetements mais la révélation qu'il venait d'avoir lui importait plus que ce débarasser de ce petit desagrement. Il se releva et immobilisa Loucas, encore une fois très joyeuse et dont le corps survitaminé exprimait son etat, afin de capter son attention si difficile à obtenir. De tout ce qu'il lui débita au visage Loucas ne se prit d'interet que pour les derniers mots.

"-N'y a t-il ?"

Lui retorqua t-elle en penchant la tête sur le coté. Cela fit soupirer Serenteïqui comprit qu'il n'obtiendrait rien d'elle. Il la lacha alors et vit Paradize lever la tête vers le ciel duquel tombaient des flaucons multicolores. Il prit un temps pour les admirer, la joie se lisait sur son visage auparavant si crispé. Il tendit les brasvers le ciel pour en capter un maximum sur lui e ferma les yeux pour faire abstraction de tout le reste. La chaleur du dersert se dissipait laissant place à l'air froid de la nuit tombante. Il rouvrit les yeux et dans le ciel se dessinaient nombreux filaments qui ne duraient que le temps d'être apperçus. Il en fut étonné puis se mit à penser à une probable explication. Cela ne ressemblait guère à un évènement naturel et peut etre etait-ce une indication d'une activité intelligente dans les parages.

Il attrapa Paradize et Loucas par le bras et les tira tous les deux vers la seule direction qu'indiquaient les filaments. Devant eux se tenait l'interminable desert mais il connaissait un moyen de le traverser plus vite. C'est ce qu'il avait comprit de ce monde, il lui suffit ainsi de penser à une monture qu'utilisaient les Sahariens Terriens du temps de l'incivilisation de cette region pour qu'en apparaisse un exemplaire neuf de haute qualité et aux fonctionnalités multiples.


"-Haha... exactement ce que je cherchais ! C'est à croire que les dieux nous viennent en aide !"

Il s'assit sur l'animal qui lui se redressa et fit signe à ses deux compagnons de le suivre. Il se rendit d'ailleurs compte que Akito les avaient perdus, ou le contraire. Il voulut d'abbord faire demi-tour mais l'envie d'atteindre une ville, ou n'importe quel tas de grava autour et dans lesquels se serraient installés une organisation intelligente, etait plus forte. De plus il craignait que d'un moment à l'autre on ne distingue plus rien dans le ciel. Il regardait d'ailleurs régulièrement au dessus de sa tête afin de s'assurer qu'ils demeuraient encore.

"-Dépechons ! Nous atteindrons peut-etre une ville avant le levé du jour ! Je ne peux plus supporter l'isolement de la société."

Personne ne se plaint de le voir si entousiaste et on monta sur l'animal. Paradize tracté par Serenteï et Loucas en bondissant sur ce dernier. A peine une minute plus tard une forêt leur faisait face et il était deja temps de quitter la monture qui refusait d'aller plus loin. Serenteï ne semblait pourtant pas trouver que le monter avait été inutile, il était convaincu que jamais sans cela ils n'auraient atteint cette frontière. Derrière eux les flocons se faisaient de pls en plus rare, mais aucun d'eux ne s'en apperçut, trop intrigués par les bruits sortants des arbres. Contrairement aux forêts europèennes celle-ci était très bruyante la nuit et peu le jour car la majorité de la vie des animaux était nocturne. Loin d'être sombre aussi les très haute branches des arbres étaient entourées de petites lumières roses et jaune en constant mouvement.

Un moment d'hésitation puis Paradize s'avanca le premier, destestant se laisser faire par la peur de l'inconnu. Serenteï en sourit ravis et lui emboita le pas en tirant Loucas qui était recalcitrante à l'idée de quitter son eternel desert.


"-Qui a dit que la magie n'existait pas ?"

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